Yannick Bestaven, Charlie Dalin, Thomas Ruyant et Damien Seguin ont passé le Cap Horn, le dernier des trois grands caps, après Bonne-Espérance et Leeuwin.
Le Cap Horn, situé à la pointe Sud de l’Amérique n’a pas très bonne réputation chez les marins : tempêtes, présence de growlers (petits icebergs à la dérives), vagues scélérates, vents violents… il est surnommé le Cap Dur par les navigateurs.
Lors du Vendée Globe 1996, c’est à l’approche du Cap Horn que le skipper Gerry Roufs, alors deuxième disparait en mer…
Plus de 400 ans !
Ce cap a fêté ses 4 siècles : en 1616, deux navires hollandais découvrent le cap, ils le nomment Horn en l’honneur de leur ville natale Hoorn.
Pour les skippers, le Cap Horn a un gout de délivrance : c’est le chemin du retour ! C’est aussi l’occasion pour le skipper d’ouvrir une bonne bouteille. Mais les hommes sont fatigués, les bateaux éprouvés et les schémas météorologiques vont être durs à négocier… bref le retour aux Sables d’Olonne ne sera pas de tout repos…
> En images :